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Turquie : Victor Osimhen dément toute agression sur un journaliste

L’affaire a fait grand bruit, il y a quelques jours. Certains médias avaient révélé un acte de violence physique de Victor Osimhen sur un journaliste. Dans un entretien accordé à un journaliste turc, l’attaquant de Galatasaray dément avoir porté la main sur le journaliste. Selon la version de Osimhen, la scène ne se serait d’ailleurs pas produite à la sortie d’une discothèque.


Victore Osimhen - sportiste.net
Victore Osimhen - sportiste.net

L’affaire a fait grand bruit, il y a quelques jours. Certains médias avaient révélé un acte de violence physique de Victor Osimhen sur un journaliste. Dans un entretien accordé à un journaliste turc, l’attaquant de Galatasaray dément avoir porté la main sur le journaliste. Selon la version de Osimhen, la scène ne se serait d’ailleurs pas produite à la sortie d’une discothèque.


« Je n’étais jamais dans une boîte de nuit. Mes amis et moi sommes allés dans un restaurant africain pour dîner. Nous avions terminé et sommes sortis pour admirer la nouvelle voiture de mon ami. Je revenais pour monter dans ma fourgonnette quand ces gars sont apparus de nulle part et ont mis une caméra devant mon visage. J’étais choqué. Je leur ai demandé quel était le problème, pourquoi ils mettaient la caméra devant mon visage ? Ils ont dit qu’ils étaient des paparazzi. [J’ai dit] D’accord, que voulez-vous ? Ils n’ont rien dit, ont juste mis la caméra devant mon visage. Et puis mes amis sont allés les voir et ont dit que vous ne pouviez pas faire ça. Si vous êtes professionnel, vous devez venir si vous voulez demander une interview », raconte le Nigérian.

Victor Osimhen ne compte pas s’en arrêter là. Après avoir donné sa version des faits, le joueur avertit.

« Je n’ai jamais frappé ce gars, je ne l’ai jamais frappé, je suis allé le voir et je lui ai dit qu’il devait retirer la photo, qu’il devait la supprimer. C’est ma photo, j’ai tout à fait le droit de lui dire de la retirer. Je ne suis pas novice en la matière. Je savais qu’ils allaient mentir encore et encore. C’est un cas de violence, et il est venu mentir. Mais bien sûr, cela ne va pas être facile. Je n’ai pas besoin de crier, mais je prendrai les mesures nécessaires pour m’assurer. Si je l’avais frappé, il obtiendrait justice. S’il a menti, alors il verra la colère de la loi ».

Crédit: Afrca To Sport

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